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Le chateau de Diedendorf
tout prés de chez nous : une merveille
vue d'ensemble du chateau
le chateau a été construit entre 1572 et 1580
il y avait des tours de garde au 4 coins du rectangle
la cour du chateau servait de refuge pour la population et le bétail en cas d'attaque ennemie
le batiment à gauche date du 18 ème siècle
coté pile : il est dans le village coté face il est ouvert sur la vallée
au loin : Wolfskirchen
que de travail acomplit , mais il reste tant à faire
souhaitons que les propriétaires gagnent au Loto
ou que la Région ou l'Etat leur vienne en aide
toutes ces poutres etaient recouvertes de plàtre
il s'agit du chateau de Diedendorf bien-sur...
Le chateau construit par Jean Streiff de Lauenstein , bailli du compté de Sarrewerden , fut achevé vers 1580
Il était entouré d'une enceinte fortifiée dont une grande partie subsiste.
Les restaurations ont révélé un décor presque entièrement préservé de peintures murales représentant
des architectures en trompe l'oeil et de plafonds à la française dont les poutres en chène sont sculptées
de motifs d'entrelacs et de cordelettes
le mariage au chateau : c'est possible
Une vie de château (DNA 30/7/05)
Si, longtemps, le château de Diedendorf a été laissé pour compte, le bâtiment est redevenu aujourd'hui un lieu propice à l'admiration des visiteurs. Rencontre avec la propriétaire Marie-France Ludmann, qui consacre sa vie à son rôle d'infirmière des pierres.
Coup de foudre immédiat ! Lorsque, par le biais d'une amie, les Ludmann rencontrent en 1976 Nancy Clark, alors propriétaire du château de Diedendorf, le couple témoigne d'emblée de sa passion pour ce vestige patrimonial d'Alsace Bossue. Bien leur en prend. Fille de M. Schlumberger, jadis maire de Diedendorf et propriétaire du moulin de Wolfskirchen, Nancy Clark considère en effet très vite le couple comme son successeur idéal. Il faut dire que l'enthousiasme des deux hauts-fonctionnaires ne peut que la convaincre. « Lorsque mon mari m'a emmenée voir le château pendant ce superbe après-midi, j'ai directement été enchantée », se souvient Mme Ludmann.
Bref, un coup de coeur partagé, si fort que l'affaire ne traîne pas. Peu après être tombés d'accord avec la châtelaine d'alors, les Ludmann investissent les lieux. L'on est en 1977, l'époux de Marie-France, Jean, a alors 40 ans, sa fille 4 ans, et la propriété 400 ans... Curieuse coïncidence.
Un détail fascine
Les soins administrés au château se multiplient très vite. Réparations en tous genres, installation de salles d'eau, murs à retapisser, sans oublier le principal : la mise en valeur du bâtiment d'origine grâce à l'enlèvement des couches de plâtre. Des secrets dans l'architecture sont ainsi découverts, tels que les poutres boisées du plafond, ou plus tristement des petits trous résiduels dans les murs dûs aux coups de marteaux des maçons d'antan. Le couple passe cinq à six ans à détruire des ornements disgracieux. Les travaux permettent de laisser entrevoir des finitions datant de 1581.
Résultat : même s'il reste quelques séquelles, le château est aujourd'hui une belle oeuvre d'art, inscrite aux monuments historiques depuis 1977 pour son extérieur, et depuis 2002 pour son intérieur. Une énorme satisfaction pour la famille Ludmann, même si Jean, ancien conservateur du musée des arts décoratifs de Strasbourg, n'est plus là aujourd'hui pour en profiter. Le maître des lieux est décédé en 1997.
Le château s'enrichit
Mais Marie-France tient malgré tout le flambeau. Heureusement, la chance a souvent été au rendez-vous de la réhabilitation, raconte-t-elle. Boiseries et planchers récupérés sur un chantier, amis qui offrent des vieilleries intéressantes...
Et les efforts ont fini par payer ! Aujourd'hui, le château est ressuscité. Un an seulement que la forteresse, initialement destinée à se protéger des pilleurs, est ouverte au public, et déjà les visites sont régulières. Des groupes de 40 personnes, même étrangers, Allemands et Anglais, viennent régulièrement découvrir ce décor typique de la Renaissance, commenté par une guide pleine de ressources.
Mme Ludmann accueille également des mariages, des séminaires d'entreprise, des spectacles et concerts, comme le spectacle de la Sarre à contes ou encore le concert Harpe et Flûte. La maîtresse des lieux étant férue d'architecture et d'histoire, la rénovation du château est un plaisir, un hobby. Marie-France y consacre sa vie. Avec un plaisir non dissimulé. Même si, en définitive, « la vie de château, c'est beaucoup de boulot ».
L. Sch.
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Des murs, une histoire
Le château de Diedendorf a abrité en ses murs tout un pan de l'histoire de l'Alsace Bossue.
1577 : Construction du château par Jean Streiff.
1647 : Le domaine de Diedendorf passe aux mains de Jean Reimbert et Otto Eberhard, qui mourut la même année.
1730 : Vente du château à Guillaume de Lüder, grand bailli du Comté de Sarrewerden, avec le consentement du prince.
1765 : Vente du fief en toute propriété au baron Gustave de Geisspitzheim et à sa femme, Henriette Louise Frédérique de Bode, apparentée aux Lüder.
1769 : Les Geisspitzheim vendent le château à Jean-Baptiste de Verlhac, lieutenant du roi, chevalier de l'ordre royal de Saint-Louis, commandant de Fort Louis et, plus tard, de Sarrebourg.
1791 : Le domaine est vendu au général Pierre-François de Frimont, de la famille du dernier gouverneur de Fénétrange, Dominique de Frimont.
1796 : Le général de Frimont vend Diedendorf à fonds perdus à David Braun, négociant de Fénétrange. Ce dernier en est dépouillé par expropriation en 1811, au profit de Jean-Lebrecht Rausch, négociant à Strasbourg, qui le vend en 1819 à Claude Joseph Harmand, inspecteur des domaines à Lunéville.
1829 : Le château échoit à Christophe Merian-Hoffmann, négociant de Bâle, en déduction d'une créance. Cette acquisition augmente encore le considérable domaine de Bonnefontaine, que Christophe Merian-Hoffmann a acquis en 1816. Diedendorf fut vendu avec Bonnefontaine pour finalement entrer dans la propriété de la famille Heckel-Striffler. Le château subit de lourds dégâts pendant la Seconde Guerre mondiale.
1966 : Les héritiers de Madame Heckel-Striffler vendent le château à Richard H. Clark et à sa femme, Nancy Schlumberger
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une merveille : escalier en colimaçon de 1560 environ, 9 Grand'rue à Sarre-Union
Derrière les façades un peu banales de la grand'rue à Sarre-Union
de véritables merveilles
plongeon dans le XVIeme siecle : une magnifique façade Renaissance
juste à coté de la pharmacie ( maison Wolff)
un endroit magique : la cour de la mairie
vue de l'arrière de la mairie
Le chateau de LORENTZEN
Le château, le moulin, la grange dîmière et la maison d'habitation constituent un ensemble remarquable et imposant.
Le tracé carré du château rappelle l'ancienne Wasserburg (château de plaine entouré d'eau) construite par Friedrich II de Sarrewerden.
Des cinq tours de la demeure féodale, il n'en subsiste que trois, ainsi que la base de la quatrième. La tour Renaissance dans la cour du château témoigne de la rénovation du XVIe siècle. Il passera aux Nassau-Sarrebruck en 1683 et deviendra par la suite résidence douairière. L'escalier en chêne atteste le souci d'amélioration de l'époque baroque.
Après la Révolution, le château sera partagé en lots d'habitation vendus comme bien national en 1792. Il tient lieu de vestige étonnant d'une évolution propre à cette contrée.
Le moulin à blé date de 1728 et a fonctionné jusqu'en 1958. Le passage voûté au milieu du bâtiment abrite une roue à aubes en bois. L'eau de la rivière déviée en aval du pont de l'Eichel passait dans le canal sous le chemin actuel pour actionner le système.
La grange dîmière construite en 1770 recevait la dîme, dixième de la récolte destinée au seigneur. Les étables et les deux granges à portes cintrées constituaient une unité d'exploitation fonctionnelle.
Les toitures des différentes bâtisses sur la place du château sont impressionnantes et lui donnent un cachet original
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actuellement en chantier
La Pierre des 12 apotres : un Menhir transformé en monument Chrétien ?
elle se trouve dans le proche Bitscherland plantée là comme un signal très fort
à la frontiére entre l'Alsace et la Lorraine
dommage qu'elle soit encerclée de routes à fort trafic : mauvais pour sentir les vibrations
qui ne doivent pas manquer près de cet endroit singulier
weiherskirche :
un endroit propice à la méditation, loin du bruit ; tout prés de chez nous : à Rahling (weiherskirche)
1847 vendelinus
le rocher DABO haut lieu d'énergie
façade de la poste à Dabo.. drole d'oiseau ..mais n'ayez pas peur
idée de ballade : le Geroldseck à Niederstinzel ,chateau de plaine (en ruines)
la caverne magique, une mini forèt oasis au sein d'épaisses murailles, au milieu des prés ;
un conteur africain au chateau magique
aoulololo, aoulololo zim zim avec Sylvain du Togo
A VOIR près de chez nous: le Chateau de LICHTENBERG, quelques images :
avant rénovation après
dans cette excroissance tombée du ciel, un bel amphiteatre association du grès du cuivre et du marbre
LE KIRCHBERG
on le voit de loin , plusieurs sentiers du club vosgien y mènent,
lorsqu'on y est, la vue sur les villages est magnifique;
le grand chène de Rimsdorf pas très loin
pas loin de Sarre-Union :
Metz , Nancy , Strasbourg
la cathédrale de Metz
Place Royale
devenue Place Stanislas , à Nancy
la petite France à Strasbourg
marcel.jacob@wanadoo.fr
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