L'histoire commence à Burbach un village près de Sarre Union en Alsace Bossue avec Jacob Jacobs né vers vers 1600 (mort vers 1657) , il semble qu'il est est de confession Calviniste (d'après des notes du registre du Pasteur luthérien de Bouquenom
qui c'est occupé de lui et de ses enfants du point de vue de la religion)
il est tisserand de laine drapier et épouse Maria ------ leur acte de mariage (13 nov.1642 pd burbach) se trouve dans le registre du Pasteur luthérien de Bouquenom
Paul Jacobs se marie à Bouquenom le 26 novembre 1669 avec Ève Elisabeth Klein , il a 25 ans. (registre protestant du Pasteur J.H. Wintzheimer)
Ils s'installent à Bouquenom où naîtront leurs enfants.:8 naissances sont citées entre 1671 et 1692 (tous inscris dans
le registre protestant sauf le dernier) ,dont Philippe Jacob le 2 sept. 1685 C'est l'un des tous derniers enfants baptisés par le pasteur Wintzheimer; il y a eu la révocation de l'Edit de Nantes et l'interdiction du culte protestant et l'arrestation de tous les Pasteurs du secteur (emprisonnés à Bitche)
tous les protetants sont forcés manu-militari de se convertir au catholicisme...beaucoup feront semblant de le faire
Philippe sera Maître de Poste aux chevaux, boulanger aubergiste à Bouquenom et conseiller à l'Hotel de Ville.
, substitut des procureurs généraux et maire de Bouquenom en 1695. Un notable de la Ville.
Le pére de Francois est Jean Turbert né à Stenay (en Lorraine Champagne)) 1629 ; sa mère est Elisabeth Friderich (1625-1688 )r le pasteur Haslauer ,le parrain était l'inspecteur du consistoire et le premier pasteur des comtes de Nassau à Bouxwiller
- le père de Maria Margareth est Jean Henri Winzheimer ( Vinsheimer) , né à Darmstadt en 1636 ,il
a été Pasteur luthérien a Bouquenom de 1667 à 1687 , puis Bailly
Grâce aux travaux de Laurent Jalabert dans sa thèse: "Droits, confessions et coexistences religieuses de1648 à 1789",...
- Sa mère Maria Margareth Winzheimer est née à Bouxwiller le 21 juillet 1665 et baptisée le même jour pa
Né à Darmstadt il s'inscrit à la faculté de théologie de Strasbourg en juin 1657, parlant bien le français il est recommandé par la Faculté au poste de pasteur d'abord à Imbsheim et comme professeur de français à Bouxwiller.
A la fin de l'année 1667 il est appelé comme Pasteur à Bouquenom
Nous sommes dans une période où les catholiques font pression pour obtenir des conversion de protetants.
Le 2/12/1685 ,18 ans après ses débuts à Sarre Union il se convertit ainsi que sa famille à la foi catholique à Metz.
Il doit jouer un rôle important dans le renouveau du catholicisme à Bouquenom et obtient le titre et la fonction de lieutenant de bailli.
Il décède le 11 octobre 1689 53 ans à Bouquenom ,il est enterré dans l'église St Georges...
son grand-père Turbert Francois est notaire royal à Bouquenom.
Henry sera également notaire royal mais à... Wolmunster qui fait partie du Baillage de Bitsch
Volmunster est rattaché au comte de Bitche en 1606 il y a un Seigneur et un château.
Après la guerre de 30 ans, puis la peste ,il ne reste plus rien . Tout le Bitcherland est ravagé.
En 1697 le duc de Lorraine Léopold s'efforce de repeupler la région.
Henry Jacobs épouse Marié Claire Hoerendl (de Volmunster ?) ,leur fils Jean Nepomucene Philippe Michel naît à Bouquenom le 31 mars 1747 à Bouquenom.
Philippe épouse à Freyming Anne Marie Becker et quitte Bouquenom pour installer sa famille à Freyming en Moselle
Il auront 15 enfants.
Pour nourrir cette grande famille il est manœuvre,boulanger et cultivateur.
Il décèdera à l'âge de 62 ans à Freyming le 31/1 1807.
C'est son fils Pierre ,le dernier de la fratrie, qui nous intéresse ,il voit le jour en 1798
Pierre Jacob ne le 20 aout 1798 à Freyming , est tailleur d'habits
Il se marie le 3 septembre 1827 à Freyming avec Angélique Haag couturière(1803-1869)
Ils auront 9 enfants.
L'ainé de ses enfants , Pierre Étienne Jacob1829-1893 marié le 4 septembre 1860 à Theding avec Suzanne Formery de Théding .Il aura son atelier de menuisier à Théding ; il est mon arrière grand-père paternel.
Avec lui commence une lignée de menuisiers ébénistes .
Il s'installe à Theding et y décèdera en 1893 et repose au cimetière de Theding ou on peut encore voir sa tombe.
son fils Joseph Jacob mon grand-père paternel :
Né à Freyming en 1865 ,également menuisier, il épouse Rose Madeleine Formery le 15/10 /1895 à Tenteling
Mon grand-père Jacob Joseph et ma grand-mère Rose Formery
que je n'ai pas connue : elle est morte le jour de ma naissance (à 82 ans )
On ne peut aider les autres que si l'on va bien sois-méme....
habiter autrement...
Urbaniser autrement...
Rita Jacob 2005
Un projet pour un village (LORENTZEN), revisiter le mythe arcadien .
L'urbanisation et l'aménagement de territoire rural ont perdu
aujourd'hui leur aptitude à s'approprier les lieux , leur paysage
et leur histoire. Les solutions standards de la viabilisation
moderne viennent jouxter les vestiges rassurants de la paysannerie
Sous les effets conjugués des diffférentes logiques dominantes
(les infrastructures , les zones commerciales , industrielles
et résidentielles annexes aux villes ) la campagne subit
des successions de dénaturations , notament de valeurs ,
qui vont jusqu'à ne plus savoir ce qui fait l'intérèt d'y vivre
d'y habiter . La banalisation des sites par le mitage
et les lotissements entraine en plus un appauvrissement des relations
sociales , qui ne se jouent plus sur le lieu de vie , mais sont délocalisées.
Or ces extensions toujours plus lointaines ne spatialisent en rien
ce que pourrait offrir un village aujourd'hui :
- le rapport à un environnement physique différend de celui
que l'on peut trouver en ville .
- le rapport différent de l'individu à la société locale , caractère
d'inter-connaissance , on se connait mieux entre voisins .
- le rapport de la localité , cest à dire un intérèt de la plupart
des habitants pour la localité dans laquelle ils habitent ,
la gestion collective de l'espace .
De ce constat général , mis en rapport avec la situation actuelle
du village de Lorentzen je propose la problématique suivante :
La planification à court terme , les réponses au coup par coup ,
la ségrégation spatiale , contribuent en grande partie à la perte
de qualité de l'espace rural , à la dilution des rapports sociaux.
En ce sens j'entends étudier de quelle manière une planification
à long terme pourrait apporter une alternative à l'extension
par lotissement , à partir des hypothèses de travail suivantes :
> de faire émerger du village les qualités qui lui sont propres .
En utilisant les traces de mémoires inscrites sur le site de
manière superficielle ou plus profonde , matérialisées par le
parcellaire , les alignements d'arbres , bosquets, chemins,
ruisseaux et autres que je souhaite réinscrire le projet dans une
histoire , redonner un caractère particulier à ses espaces et
aux batiments qui viendront les créer .
> ne plus voir la maison individuelle comme une intouchable
solitaire , mais bien de la respecter comme élément participant
à la qualité et à la logique d'un ensemble.
> voir le village et son extension comme un tout pouvant profiter
et fabriquer à la fois sa propre unité , en recréant un univers
intérieur commun , lieu de promenade et de rencontre ,
lien physique et visuel du paysage du village . Associer à cet
univers les projets émergents et les liens associatifs de la
commune qui le rendront attractifs et interactifs .
DNA 8-4-06 Les temps changent...avec le pétrole cher
Un lotissement de (haute) qualité environnementale
La Région Alsace lance une nouvelle politique en faveur des lotissements qui répondent aux critères d'un urbanisme durable de qualité environnementale. Première commune servie, Sainte-Croix-aux-Mines.
)
L'objectif de cette nouvelle politique est d'aider les élus locaux à réaliser des lotissements de qualité utilisant les sols de façon plus rationnelle et développant une meilleure approche environnementale. La Région Alsace finance 80 % des études de projets, avec un plafond à 20 000 €. Elle aidera aussi à la réalisation concrète de quatre lotissements expérimentaux dans chacun des deux départements. Parmi eux, le lotissement de Sainte-Croix-aux-Mines qui entre en phase de réalisation. Les maisons sont construites sur pilotis afin de libérer le sol. Économes en énergie et bien isolées, elles privilégient des matériaux de qualité comme le bois. La commission permanente d'hier a consenti une avance remboursable sans intérêt sur 2 ans de 157 300 € (60 % du prix de revient) pour la conception de la maison témoin. Le prêt sera remboursé lorsque la maison sera vendue.
La Région Alsace poursuit par ailleurs ses efforts en faveur des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, avec des projets pour lesquels a été débloqué hier un montant global de 9,15 millions d'euros. Elle veut notamment devenir une région pilote pour les bâtiments à basse consommation. Huit chantiers prioritaires ont été retenus, dont celui de la réhabilitation thermique des bâtiments. Il consiste à diviser par quatre les consommations énergétiques dans les logements à l'horizon 2025. Outre les projets solaires et bois-énergie collectifs et l'utilisation de l'énergie solaire chez les particuliers, un programme de remplacement des chaudières fioul ou gaz par des chaudières bois à alimentation automatique a été lancé en octobre. 200 primes, pour un montant global de 233 250 €, ont déjà été accordées.
DNA du 8-4-06
L'histoire postale mouvementée de Bouquenom (Sarre-Union) ...cliquer sur l'image
marcel.jacob@wanadoo.fr il y a longtemps...
Pharmacie Mahler à Sarre=Union ...autrefois
Crash d'avion à Tenteling vu sur : https://www.tenteling.fr/site/presentation-rubrique-5
Le 8 juin 1954, en début d'après-midi, un avion de chasse "Sabre F-84" de la base aérienne canadienne de Grostenquin s'était écrasé à la sortie du village. Il s'agissait d'un appareil moderne de la première génération des avions à réaction qui firent leur apparition dès la fin de la seconde guerre mondiale lire la suite...
on devine la pointe du clocher du village, au milieu derrière les arbres
on est vraiment passé à deux doigt de la catastrophe...
nous, les enfants étions à l'école cette après-midi là...on a entendu l'avion en perdition passer en rase motte sur le village puis un très gros boum : l'avion s'était écrasé
à 300 ou 400 m de l'école ; on était des miraculés...
lire la suite...
manger autrement....
bonne nouvelle...
avec "j'aime les tomates, et l'eau du robinet", j'ai "perdu" pas mal de kilo en deux ans....
marcel.jacob@wanadoo.fr
remplacer l'essence...? par le bois... énergie renouvelable
qu'est ce qu'un gazogène? Georges Imbert un sarre-unionais inventeur du gazogène à bois
par Valérie Schoepfer (éxtrait de son rapport de stage en classe de seconde)
Un gazogène est un appareil conçu pour la gazéification du charbon ou autre matiére combustible,
formant anisi un gaz composè de :
- oxyde de carbone
- methane
- hyrogène
ce gaz est susceptible de remplcer l'essence comme carburant pour l'alimentation des moteurs à
combustion interne.
Parmi les differentes expériences effectuées par Georges Imbert nous trouvons celles de la
gazèification : - du charbon de bois
- du charbon anthracite
- du coke
- du bois
- de la houillelignite (briquettes)
- de la tourbe
Les "foyers" exposés au musée avaient servi à ses expériences sur véhicules..
le grand-père de Valérie était un proche colaborateur et ami de G. Imbert :
G Imbert étonnait son entourage par un comportement singulièrement capricieux,
tantot exubérant tantot tassiturne.
Il analysait la complexité d'un problème ambigu avec simplicité et lucidité
D'une humeur changeante de coléreux, il ne suportait pas que ses previsions
ne se réalisent pas. Mais il revenait rapidement à une humeur plaisante avec
générosité extreme , quand les choses allaient comme il voulait.
D'une exigence tyranique pour toute affaire concernant ses activités de "chercheur"
imaginatif, il déroutait ses interlocuteurs par le sens de la plaisanterie et d'un humour
espiègle et futé quand il prenait le parti de ne pas prendre une affaire trop au serieux
l'humeur changeante du coléreux...
VALERIE SCHOEPFER
Un groupe de passionnés à restauré un camion gazogènePanhard-Levassor de 1946
le camion gazogène a pu reprendre la route
L'ancien Relais de la Poste situé en face de la Mairie à Sarre-Union (Bouquenom)
Philippe Jacobs (1689-1758 ) mon lointain ancètre a été Maitre de Poste aux chevaux de Bouquenom dans la première moitié des années 1700 ,
(voir la généalogie plus bas)
En remontant la grand'rue vous passerez devant
L'ancien Relais de la Poste situé en face de la Mairie
sur cette photo (1938 ?) la porte cochère et l'oriel sont encore en place
la " taverne alsacienne" à Sarre Union
sur cette photo (ci-dessus) que m'a envoyé Guy Mattern on voit particulièrement
bien le porche (sur la droite) qui se trouve maintenant square Dommel
on devine un véhicule tiré par des chevaux..
l'interieur de la taverne
D' après des travaux historiques, Louis XIV aurait séjourné dans ce relais de poste lors de sa visite en juillet 1683. Au 18e siècle, propriété des familles Karcher Herrenschmitt, qui y installèrent une fabrique d' ouate. Ils font sculpter la porte avec leur emblème , le mouton, et percer la porte cochère datée de 1731 (qui n' est plus en place actuellement). Quatre grandes salles à chaque niveau rappellent la fonction d' atelier. Au début du 20e siècle, le rez-de-chaussée est aménagé en restaurant et cinéma. Le restaurant est toujours en fonction, la salle de cinéma est désaffectée. Vers 1960, pour moderniser la boutique un oriel est arraché, la porte cochère déplacée dans le square Dommel.
(d'après : http://www.patrimoine-de-france.org )
square Dommel
on peut encore distinguer le mouton de l'emblème
Généalogie Jacobs à Bouquenom (Sarre-union) 1600-1800
C'est gràce aux registres d'état civil numérisés des parroisses catholique et protestante de Bouquenom (Sarre-Union) et à des arbres généalogiques prééxistants chez généanet ,que j'ai pu retrouver mes ancètres Jacobs de Bouquenom des années 1600 à 1800.. Sarre-union ou je vivais depuis de nombreuses années , sans imaginer que mes aieux Jacobs avaient vécu là 200 à 300 ans avant moi....
L'histoire commence à Burbach un village près de Sarre Union en Alsace Bossue avec Jacob Jacobs né vers vers 1600 (mort vers 1657) , il semble qu'il est est de confession Calviniste (d'après des notes du registre du Pasteur luthérien de Bouquenom
qui c'est occupé de lui et de ses enfants du point de vue de la religion)
il est tisserand de laine drapier et épouse Maria ------ leur acte de mariage (13 nov.1642 pd burbach) se trouve dans le registre du Pasteur luthérien de Bouquenom
Paul Jacobs se marie à Bouquenom le 26 novembre 1669 avec Ève Elisabeth Klein , il a 25 ans. (registre protestant du Pasteur J.H. Wintzheimer)
Ils s'installent à Bouquenom où naîtront leurs enfants.:8 naissances sont citées entre 1671 et 1692 (tous inscris dans le registre protestant sauf le dernier) ,dont Philippe Jacob le 2 sept. 1685 C'est l'un des tous derniers enfants baptisés par le pasteur Wintzheimer; il y a eu la révocation de l'Edit de Nantes et l'interdiction du culte protestant et l'arrestation de tous les Pasteurs du secteur (emprisonnés à Bitche)
tous les protetants sont forcés manu-militari de se convertir au catholicisme...beaucoup feront semblant de le faire
Philippe sera Maître de Poste aux chevaux, boulanger aubergiste à Bouquenom et conseiller à l'Hotel de Ville.
- Sa mère Maria Margareth Winzheimer est née à Bouxwiller le 21 juillet 1665 et baptisée le même jour par le pasteur Haslauer ,le parrain était l'inspecteur du consistoire et le premier pasteur des comtes de Nassau à Bouxwiller
- le père de Maria Margareth est Jean Henri Winzheimer ( Vinsheimer) , né à Darmstadt en 1636 ,il
a été Pasteur luthérien a Bouquenom de 1667 à 1687 , puis Bailly
Grâce aux travaux de Laurent Jalabert dans sa thèse: "Droits, confessions et coexistences religieuses de1648 à 1789",...
Né à Darmstadt il s'inscrit à la faculté de théologie de Strasbourg en juin 1657, parlant bien le français il est recommandé par la Faculté au poste de pasteur d'abord à Imbsheim et comme professeur de français à Bouxwiller.
A la fin de l'année 1667 il est appelé comme Pasteur à Bouquenom
Nous sommes dans une période où les catholiques font pression pour obtenir des conversion de protetants.
Le 2/12/1685 ,18 ans après ses débuts à Sarre Union il se convertit ainsi que sa famille à la foi catholique à Metz.
Il doit jouer un rôle important dans le renouveau du catholicisme à Bouquenom et obtient le titre et la fonction de lieutenant de bailli.
Il décède le 11 octobre 1689 53 ans à Bouquenom ,il est enterré dans l'église St Georges...
son grand-père Turbert Francois est notaire royal à Bouquenom.
Henry sera également notaire royal mais à... Wolmunster qui fait partie du Baillage de Bitsch
Volmunster est rattaché au comte de Bitche en 1606 il y a un Seigneur et un château.
Après la guerre de 30 ans, puis la peste ,il ne reste plus rien . Tout le Bitcherland est ravagé.
En 1697 le duc de Lorraine Léopold s'efforce de repeupler la région.
Henry Jacobs épouse Marié Claire Hoerendl (de Volmunster ?) ,leur fils Jean Nepomucene Philippe Michel naît à Bouquenom le 31 mars 1747 à Bouquenom.
Philippe épouse à Freyming Anne Marie Becker et quitte Bouquenom pour installer sa famille à Freyming en Moselle
Il auront 15 enfants.
Pour nourrir cette grande famille il est manœuvre,boulanger et cultivateur.
Il décèdera à l'âge de 62 ans à Freyming le 31/1 1807.
C'est son fils Pierre ,le dernier de la fratrie, qui nous intéresse ,il voit le jour en 1798
Pierre Jacob ne le 20 aout 1798 à Freyming , est tailleur d'habits
Il se marie le 3 septembre 1827 à Freyming avec Angélique Haag couturière(1803-1869)
Ils auront 9 enfants.
L'ainé de ses enfants , Pierre Étienne Jacob1829-1893 marié le 4 septembre 1860 à Theding avec Suzanne Formery de Théding .Il aura son atelier de menuisier à Théding ; il est mon arrière grand-père paternel.
Avec lui commence une lignée de menuisiers ébénistes .
Il s'installe à Theding et y décèdera en 1893 et repose au cimetière de Theding ou on peut encore voir sa tombe.
son fils Joseph Jacob mon grand-père paternel :
Né à Freyming en 1865 ,également menuisier, il épouse Rose Madeleine Formery le 15/10 /1895 à Tenteling
Mon grand-père Jacob Joseph et ma grand-mère Rose Formery
que je n'ai pas connue : elle est morte le jour de ma naissance (à 82 ans )
Au Moyen-Âge, on savait aussi faire la fête ! En témoigne le Noël de l’an de grâce 1356 qui fut célébré avec faste dans la ville de Metz par toute la noblesse de l’Europe regroupée autour de l’empereur d’Allemagne Charles IV (1316-1378). Parmi les nombreux invités se trouvait Frédéric II, l’illustre comte de Sarrewerden.
Le Noël du comte Frédéric de Sarrewerden
Frédéric II était le fils de Jean Ier de Sarrewerden et de Ferriatte de Linange. Parvenu à l’âge adulte, il administra le comté à la mort de son père survenue à Berne en 1310. Ce dernier, en effet, avait pris part à une expédition militaire menée par l’empereur Henri VII en Italie.
Marié à Agnès, la fille de Jean de Salm et de Jeanne de Joinville, Frédéric comprit de suite qu’il lui fallait rechercher la protection des plus grands pour gouverner les terres situées tout autour de Bouquenom que lui avait confiées son suzerain, l’évêque de Metz. Son parrain n’était autre que Baudoin de Luxembourg, archevêque de Trêves, connu comme l’un des plus puissants princes d’Allemagne. Avec lui, il signa, le 24 septembre 1333, un traité d’alliance.
Noble particulièrement avisé, il avait déjà accordé, en 1328, une charte de franchise à la cité de Bouquenom, lui octroyant ainsi le statut de ville libre afin d’encourager les habitants à développer son économie. C’est encore lui qui fit construire le château de Lorentzen pour assurer le contrôle et la protection de la vallée de l’Eichel et, sans doute, l’église de Domfessel. À Sarrewerden, il fit démolir la première chapelle pour en reconstruire une nouvelle à l’entrée de son château.
Il fit partie de la suite même de l’empereur d’Allemagne Charles IV
Reconnu comme belliqueux, il fit néanmoins preuve d’un esprit conciliant et prudent, qualités rares à cette époque mais qui lui valurent autant l’affection de ses sujets que la haute considération des seigneurs de Lorraine et du Westrich. C’est ainsi que les prévôts, échevins, jurés et toute la bourgeoisie de Sarrebourg lui donnèrent, en 1343, procuration pour adhérer en leur nom au « Landfrieden », le traité de paix conclu avec la ville de Metz.
Quoi d’étonnant alors d’apprendre qu’il fit partie de la suite même de l’empereur d’Allemagne Charles IV ? Ce dernier l’avait déjà invité, en janvier 1354, à Mayence puis aux fêtes de fin d’année 1356 dans la bonne ville de Metz.
Le 10 janvier 1356, l’empereur d’Allemagne avait publié la fameuse bulle d’or reconnue comme la plus importante des chartes qu’authentifiait le sceau d’or de l’empire. Émise à Nuremberg et approuvée à Metz, elle devait mettre fin aux dissensions qu’occasionnait, à chaque changement de règne, l’élection d’un nouvel empereur.
Cette importante décision concernant toute l’Europe fut ratifiée, le jour de Noël 1356, sur le parvis de la cathédrale de Metz, puis au Champ-à-Seille, actuelle place Coislin. Y figurait le texte précisant la procédure de choix et de couronnement de l’empereur. L’élection devait être assurée par sept princes-électeurs : quatre laïcs, le roi de Bohême, le duc de Saxe, le margrave de Brandebourg et le comte palatin du Rhin, et trois ecclésiastiques, les archevêques de Trèves, Cologne et Mayence. Mais c’est l’archevêque de Cologne qui avait le droit de sacrer l’empereur à Aix-la-Chapelle.
Pas de Noël blanc
C’est ainsi que se retrouva dans la cité messine le « gratin » de toute l’Europe : l’impératrice Anna, bien sûr, toute la haute noblesse, les évêques de Metz, Toul, Verdun, Strasbourg, le dauphin Charles V dit le Sage, fils aîné de Jean le Bon et futur roi de France, ainsi que plus de 3 000 seigneurs venus de toute la chrétienté.
Comme par miracle, le temps s’était mis de la partie pour que ne soit entravé en rien le déroulement des festivités. Pas de Noël blanc ni de routes verglacées, mais un Noël on ne peut plus clément, au point que tout ce beau monde se crut en été.
Après l’office religieux et sans nul doute quelques représentations de « mystères » sur le parvis de la cathédrale Saint-Etienne, les invités de marque se retrouvèrent au banquet servi en plein air au Champ-sur-Seille. Et quel banquet ! Le festin apprêté par des maîtres-rôtisseurs avait demandé plusieurs jours de préparation, car un singulier menu avait été réservé aux hôtes d’honneur : un bœuf tournait à la broche, mais dans ce bœuf ava it été placé un porc dans lequel se trouvait un mouton, lui-même garni d’une oie renfermant une poule et dans la poule, un… œuf !
Et comme il était coutume d’offrir des étrennes, l’empereur Charles IV accorda, le jour de l’Épiphanie 1357, au comte Frédéric de Sarrewerden, l’autorisation de percevoir un droit d’escorte dans tout son comté et d’établir une douane à Bouquenom.
par Jean-Louis Wilbert, vice-président de la SHASE., publiée le 11/12/2013 DNA
Un Sarre-Unionnais à l'origine du Comité pour le Souvenir Français
C'est en constatant le mauvais entretien des tombes de soldats que François-Xavier NIESSEN , originaire
de Sarre-union , décida de fonder l'association " Le souvenir Français". Créée en 1887, cette association
fut reconnue d'utilité publique en 1906. Elle comprend actuellement plus de 300.000 adhérents répartis
dans tous les départements et à l'étranger.
Le Souvenir Français pourquoi ?
"Le Souvenir Français" a pour mission :
--de conserver la mémoire de ceux et celles qui sont morts pour la France au cours de son histoire
ou qui l'ont honorée par de belles actions.
-- d'entretenir leurs tombes ainsi que les monuments élevés à leur gloire , tant en France qu'à l'étranger.
-- de transmettre le flambeau aux générations successives en leur inculquant, par le maintien du
souvenir de ces morts, le sentiment du devoir, l'esprit de sacrifice , l'amour de la Patrie.
C'est dans cet espoir qu'un comité vient de se reconstituer à Sarre-Union .
Le Président , insiste sur l'importance du devoir de mémoire à l'égard de ceux
qui ont donné leur vie pour la liberté d'aujourdhui . Il souligne également la nécessité de la mission
en faveur de la jeunesse.
Un drapeau à la mémoire des anciens
La section de Sarre-Union , qui compte déjà une cinquantaine d'adhérents, a fait l'acquisition
d'un drapeau , comportant sur une face un glaive et un flambeau, symbole de l'association.
M. KOENIG, ébéniste, a réalisé une armoire vitrée pour le drapeau. L'ensemble a pu etre financé
gràce à une subvention de la municipalité, du Conseil général , des communes associées et
d'un particulier.
La remise officielle du drapeau de le section du canton de Sarre-Union aura lieue le 18 juin 2005.
Elle se déroulera en présence du Général De Percin, Président National du Souvenir Français,
ainsi que des autorités départementales et municipales.
Lieutenant général Virgile Schneider DNA du 27 03 2005
Tiré des oubliettes de l'histoire
Si d'aucuns prétendent qu'il est né à Bitche, il n'en est rien. Virgile Schneider est l'un des plus illustres enfants de Sarre-Union. Jean-Louis Wilbert retrace la carrière de celui qui fut ministre de la guerre et dont le nom est gravé sur l'Arc de Triomphe
Virgile Schneider fut lieutenant général, ce qui correspond à un général de division trois étoiles.(Document Musée de l'armée)
Jean-Louis Wilbert, avec René Ratineau, signe là un ouvrage essentiel de l'histoire sarre-unionnaise.(Photo DNA)
Avec le défunt René Ratineau, Jean-Louis Wilbert a accompli un travail remarquable de recherches et d'écriture ayant conduit à la publication d'un petit livret de 64 pages sur la vie du chef d'état-major du général Rapp et ministre de la guerre sous la monarchie de Juillet. A 64 ans, cet enseignant et directeur d'école retraité, demeurant à Keskastel, est un collaborateur de longue date de la rédaction des DNA de Sarre-Union où il tient depuis deux ans une chronique estivale sur les personnalités méconnues d'Alsace Bossue.
Vice-président de la société d'histoire et d'archéologie de Saverne et membre de plusieurs autres sociétés d'histoire, Jean-Louis Wilbert a été piqué par le virus il y a belle lurette. C'était il y a quarante ans lorsqu'il enseignait à Sarrewerden. Il s'est intéressé naturellement à l'histoire du conté, et de fil en aiguille à celle de la région. Dirigeant d'une chorale et accessoirement organiste -« un autre dada », dit-il modestement- il correspond aussi régulièrement avec des revues historiques de Moselle et du Bas-Rhin.
Enfin, à l'occasion il donne quelques conférences comme ce fut le cas récemment à Reichshoffen.
Dix ans d'enquête
Jean-Louis Wilbert, qui prépare actuellement un ouvrage sur Keskastel, des origines à nos jours, nous livre dans son opuscule dédié à Schneider le fruit de longues recherches. Dix ans d'enquête ou presque. A fouiller les archives de la région alors que René Ratineau, ancien journaliste parisien décédé en février 2004, dont l'épouse descend d'une famille sarre-unionnaise, cherchait de son côté dans les documents archivés sur le plan national.
L'affaire a pris corps en fait dès 1991, lorsque Wilbert est contacté par un Américain, semble-t-il descendant du général Rapp de Colmar, qui étudiait le passé de son ancêtre. En 1999, un Italien de Turin est venu en Alsace Bossue faire des recherches sur la famille Schneider. Le sujet avait déjà suscité l'intérêt de l'historien local qui dès lors s'est lancé dans la rédaction de ses découvertes.
Avec ses cousins
Qui donc était vraiment ce Virgile Schneider dont une rue de Bitche porte le nom ? Né à Sarre-Union le 23 mars 1779 d'un père médecin stipendié dans le bourg centre d'Alsace Bossue et à Sarralbe jusqu'en 1785 -François Christophe Schneider exercera ensuite à Bitche où Virgile passera une partie de sa jeunesse- , l'illustre Sarre-unionnais aura été témoin durant son existence des plus grands faits militaires de son époque.
La carrière de cet ancien élève de Polytechnique de Paris a été exemplaire à plus d'un titre. Témoin de la victoire de Marengo (1800) et choisi comme aide de camp par Clarke et Rapp, Schneider a été des campagnes militaires en Espagne, à Corfou et en Russie. Il deviendra en 1832 conseiller général de l'arrondissement de Sarreguemines puis député de la Moselle. A la Chambre, il siégera avec ses cousins Adolphe et Eugène qui seront à l'origine des usines métallurgiques du Creusot. En 1839 il deviendra ministre de la guerre sous Louis-Philippe, le restera 9 mois, et sera le défenseur des forts détachés de Paris et de Bitche (St-Sébastien). Il est décédé le 11 juillet 1847 dans la capitale où il est enterré au Père-Lachaise.
Détruits par la Révolution
Virgile Schneider est revenu souvent à Bouquenom, chez son ami le maire Kremp. Il était marié à la comtesse Catherine Zaleska. L'Alsacien était allé s'enfermer à Dantzig avec son supérieur Rapp et leurs troupes lors de la campagne de Russie. Ils se sont finalement rendus et ont été fait prisonniers puis transférés en Ukraine, à Kiev.
C'est à cette époque-là qu'il a connu et épousé la future mère de ses trois filles. « On peut regretter, confie Jean-Louis Wilbert, que peu d'informations ont été trouvées concernant la comtesse polonaise Catherine Zaleska, mais ce n'est pas faute d'avoir entrepris des recherches en Pologne, en Russie et en Ukraine... avec l'aide de Mme Lieb, des prêtres polonais du secteur, d'historiens russes de l'université de St Petersbourg ou de Dantzig. Les réponses furent toujours les mêmes : la Révolution de 1917 a détruit la plupart des documents concernant les familles nobles » regrette-t-il. Reste que le travail qui s'appuie aussi sur plusieurs « mémoires militaires » rédigées par Schneider lui-même, tire des oubliettes de l'histoire un concitoyen de Sarre-Union totalement oublié et méconnu. Un livret à posséder absolument pour tous ceux qui s'intéressent à notre histoire.
Jean-Luc Will
Le livret sur Virgile Schneider, préfacé par Marc Séné et Denis Lieb est en vente chez les dépositaires de presse à Sarre-Union, à Drulingen, dans les mairies de Bitche et de Sarralbe ainsi que chez l'auteur, au prix de 10 €.
dans l'ordonancier de jiun 1855 : une préparation pour Mr Karcher "schwanenwirt"...
c'étatait du temps du pharmacien J N KABLE
Sarre Union avait un restaurant "au cygne"
1980 : le bon vieux temps
1976
façade du 9 grand'rue 1877
Seule a porte d'entrée à gauche est encore en place
un ordonnancier de la pharmacie en 1864, la page d'entrée est signée par le Maire(à droite)F Flurer
le pharmacien est J.N Kablé
c'ets Jacques Mahler qui prit sa succession le 15 seotembre 1869
comme en témoigne la page de l'ordonnancier ci-dessous à gauche :
en ce temps là tout les remédes étaient préparés par le pharmacien..
"15 septembre 1869 jour de mon entrée dans la pharmacie"
le fils Jacques, puis le petit-fils , Alfred Mahler lui ont succédés
A.Mahler à la retraite depuis 1975 est toujours alerte dans sa 102éme année..
quelques années plus tard ...
après trois générations de pharmaciens Mahler (Mr Alfred Mahler à eu 100 ans en avril 2002) de père en fils depuis 1870 , c'est G. Weber qui racheta la
pharmacie à Alfred Mahler en 1976. C'est en 1980 que S. et M. Jacob devinrent propriétaires de la pharmacie.
A droite une porte s'ouvre sur un magnifique escalier en colimaçon construit vers 1560.
escalier
le fronton porte l'inscription : 1560
un "tarex" de la ville de Strasbourg , en trois langues , daté de 1759
Etat et Taxe des Médicaments simples et composés qui se trouvent
et doivent se trouver chez les Apothicaires de la ville de Strasbourg,
faite et publiée par ordre de Messieurs du Magistrat de la dite ville
...qu'ils auraient vendu les autres médicaments audela
du juste prix reglé par ladite Taxe et souvent mème à
un prix arbitraire, tellement que par là le pauvre particulier
a été mis hors d'état de les acheter et d'en tirer du soulagement
dans ses maladies : Nous pour faire cesser les plaintes ,
qui Nous ont été portées à ce sujet , avons d'abord fait examiner
par le Collège de Médecine établi en cette ville,assisté du
premier Medecin d'icelle la Pharmacopée publiée cy-devant,
lesquels enont separé ce qu'ils y ont trouvéd'inutile , de superflu,
et hors d'usage , et y ont substitué plusieurs compositions
salutaires et nouveles , approuvées par l'expérience ,...
.....
marque de tacheron
d'après echos et images.... pas mal
images de sarre-union :
11dec2003
il était une fois... 23/12/03
la grand'rue avant....
2005
2003
vraiment très joli
un grand merci à cet animateur bénévole ....
les Alpes vues depuis la plaine d'Alsace (bossue) pour dire que notre contrée est au centre du monde connu....
et encore un peu plus à l'Est , on peut voir l'Everest et la chaine de l'hymalaya
ancienne tuillerie à Harskirchen, le long du canal ;(elle a fonctionné jusque vers 1920)
tout passe...
station-essence dans la rue du pont sur la sarre à Bouquenom
Nieder nai
La vie continue....show must go on
A la chute de l'empire sovietique on voulais bien croire à la fin des tensions internationales....grossière erreur !!!
c'est beau Cuba...un payx sans riches... il ne reste que pauvreté et décrépitude....