L’écologisme selon Kafka (le figaro)
L’écologisme est une idéologie cohérente : elle s’applique à elle-même sa première obsession, la décroissance. Pour prospérer, elle s’est appuyée sur une réalité indiscutable, le dérèglement climatique et la part des sociétés humaines dans le phénomène, mais, en moins de temps qu’il n’en faut pour un tweet, elle a délaissé la protection de l’environnement au profit d’un festival sociétal, en écriture inclusive, où la transidentité, le racialisme, la GPA, la dépénalisation du cannabis, l’ouverture totale des frontières allaient, selon la formule, « sauver la planète ». Politiquement, les coupables étaient identifiés : le capitalisme, l’« islamophobie », l’État d’Israël. Greta Thunberg est passée, sans transition, de Gaïa à Gaza : symbole planétaire de la confusion mentale du peuple adolescent. Nul besoin de Trump pour que les Français se détournent de ces obsessions archi-minoritaires, des caprices urbains des amis de Sandrine Rousseau.
En France, c’était l’écolo-wokisme, à l’échelle européenne, une sorte de climax bureaucratique, la vie quotidienne normée à chaque instant pour atteindre la terre promise : la neutralité climatique en 2050. Dans un fascinant mélange de doigt mouillé et de pinaillage, de naïveté et de cynisme, Frans Timmermans, sous la houlette d’Ursula von der Leyen, a forgé le « Green Deal ». Sans aucune certitude des effets écologiques de cette planification, on a abandonné le moteur thermique et offert à la Chine la mort de notre industrie automobile ; rendu impossible à la location des centaines de milliers de logements ; mis en accusation les travailleurs de la terre comme les premiers pollueurs ; rejeté les « gueux » du peuple de la bagnole hors des métropoles ; envisagé une sorte de taxe carbone personnalisée pour les citoyens trop dépensiers. Réglementer, transposer, surveiller, punir. Pendant ce temps, on fermait les centrales nucléaires, on rouvrait les centrales à charbon.
Fort heureusement, le réel, petit à petit, reprend ses droits. L’Europe déconstruit la cathédrale technocratique qu’elle avait échafaudée, les acronymes hostiles DPE, ZFE découragent même les maires de gauche, le nucléaire décarboné retrouve sa place décisive. Mais quel temps, quel argent, quelle énergie perdus ! Kafka lui-même n’en revient toujours pas.
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marcel.jacob@wanadoo.fr il y a longtemps....
Histoire des relais de Poste
L'ancien Relais de la Poste situé en face de la Mairie à Sarre-Union (Bouquenom)
Philippe Jacobs (1689-1758 ) mon lointain ancètre a été Maitre de Poste aux chevaux de Bouquenom dans la première moitié des années 1700 ,
(voir la généalogie plus bas)
En remontant la grand'rue vous passerez devant
L'ancien Relais de la Poste situé en face de la Mairie
sur cette photo (1938 ?) la porte cochère et l'oriel sont encore en place
la " taverne alsacienne" à Sarre Union
sur cette photo (ci-dessus) que m'a envoyé Guy Mattern on voit particulièrement
bien le porche (sur la droite) qui se trouve maintenant square Dommel
on devine un véhicule tiré par des chevaux..
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l'interieur de la taverne
Louis XIV aurait séjourné dans ce relais de poste lors de sa visite en juillet 1683. Au 18e siècle, propriété des familles Karcher Herrenschmitt, qui y installèrent une fabrique d' ouate. Ils font sculpter la porte avec leur emblème , le mouton, et percer la porte cochère datée de 1731 (qui n' est plus en place actuellement). Quatre grandes salles à chaque niveau rappellent la fonction d' atelier. Au début du 20e siècle, le rez-de-chaussée est aménagé en restaurant et cinéma. Le restaurant est toujours en fonction, la salle de cinéma est désaffectée. Vers 1960, pour moderniser la boutique un oriel est arraché, la porte cochère déplacée dans le square Dommel.
(d'après : http://www.patrimoine-de-france.org )
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Rimling a été au Moyen Âge un noeud de communications très important puisque plusieurs routes se croisaient ici. La route celtique, à l'est du village, le long de la Bickenalbe, de Deux-Ponts à Ingwiller, par Guiderkirch, Bettviller, Petit-Réderching, fut appelée di Koenigstrasse, la " Route Royale ", nom que garde encore aujourd'hui un chemin rural. Elle passe derrière la chapelle Saint-Joseph à Ormersviller.
La route du sel
La route romaine de Oermingen à Landstuhl par Achen, Schmittviller, Erching, Medelsheim, Böckweiler et Hornbach, à l'ouest de Rimling, était appelée la " Route des Chevaliers " ou " Ritterstrasse ". Un second embranchement de cette route vers Neualtheim était appelée, la " Route du Sel " ou " Salzstrasse ", ce qui explique le lieu dit " Salzbrück " ou encore "Duserstrasse" (Route de Dieuze à Neualtheim). Elle permettait l'exportation du sel de la région de Marsal à Mayence.
Un document de 1182 fait mention d'un Henri, péager de Rimling, d'autres de 1464 et de 1472, d'un Jean le péager. Les revenus du péage devaient être élevés, puisqu'ils couvraient les dépenses extraordinaires des comtes. D'après les traités de 1394, 1403 et 1415, ceux-ci devaient entretenir à Rimling et à Enchenberg, deux auberges.
L'auberge de Rimling, reconstruite en 1725 par le maître de poste, était jusque récemment
le café-restaurant Krebs (aujourd'hui Le Rimling). La porte cochère porte encore actuellement les insignes de la Poste, le cor de postillon, surmonté d'une couronne. Une poste royale française a été ouverte le 8 juin 1748 à Altheim,
village lorrain jusqu'en 1781. Jean Sprunck, laboureur, âgé de 21 ans, a acheté la concession auprès du duc de Lorraine à Lunéville, et ainsi il a eu le privilège d’être dispensé de payer des impôts. Le maître de poste, à cette époque est une personne, souvent un chevaucheur sédentarisé, qui tient un relais de poste aux chevaux. Il fournit, moyennant certains avantages, des relais aux voitures de l'administration des postes. Il dirige plusieurs personnes autour de lui : domestiques, postillons, valets et lingères.
Le château de Guising
Photos de J.A.S.
L'habitation avec le cops de ferme
Propriété de François-Joseph Durand, procureur et notaire royal à Bitche, beau-frère de Newinger, futur général de la Révolution. Le château a sans doute été construit dans la deuxième moitié XVIIIe siècle. La porte piétonne du corps en retour d'équerre à gauche porte la date 1802.
Le nouveau propriétaire est en tain de le rénover. A côté de la porte d'entrée un ancien escalier mène nulle part.
J.A.S.
Publié par Joseph Antoine Sprunck
Illustration réalisée par JM Ligeron
La Vie du Relais
Le Maître de poste dirige le relais, surveille ses écuries et ses chevaux, pourvoit aux changements d’attelage. Il règne sur tout un petit monde de domestiques, de postillons, de valets, de lingères etc…
Car la plupart du temps, le relais sert d’auberge où se restaurent et se reposent les voyageurs. Personnage curieux et original, de lui dépend la bonne marche, le confort de la halte ou du gîte. Pour ne pas faire attendre, le Maître de poste est, en principe, tenu d’avoir de la lumière pendant la nuit et un postillon de garde. Très souvent le Maître de Poste est un riche propriétaire, citoyen influent.
Comment devient-on Maître de Postes ?
Pour devenir Maître de Poste il faut avoir une bonne réputation, posséder quelques biens, c’est-à-dire une écurie, des chevaux et le fourrage pour leur nourriture. En résumé, justifier d’une bonne fortune.
Devoirs du Maître de Postes :
tenir prêts les chevaux dans les écuries nuit et jour
éclairer les écuries la nuit avec des lanternes
remplir les certificats de route
vérifier les passeports obligatoires pour les voyageurs et inscrire ceux-ci sur un registre
tenir un registre journalier : arrivée et départ des chevaux et courriers.
Droits des Maîtres de Poste :
seuls leurs chevaux de courriers royaux sont autorisés à chevaucher au galop
ils ne dépendent pas de tribunaux de droit commun
ils bénéficient d’exemptions et de privilèges
sont exemptés de toutes les tailles
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Ses gages
Gages en provenance du Pouvoir Royal : 200 livres par an
+ 100 livres de gratification de la province
+ le prix des courses payées par les particuliers, les « courrier de cabinet » …
Le Maître des Postes doit rémunérer ses postillons au tarif de 5 sols (10 sols en 1756)
Autres métiers du Maître de Postes
Le Maître de Postes est un employé du Roi, il est aussi un correspondant de la Ferme des Postes dont il reçoit des instructions, c’est enfin un auxiliaire de police.
Certains sont par ailleurs agriculteur, aubergiste ou maître-maréchal …
Uniforme
« Surtout à la française de drap bleu de roi, collet écarlate rabattu et arrondi, parements bleus comme le surtout, doublure d’étoffe de laine écarlate, passepoil de même couleur avec un bordé d’argent large de six ou sept lignes sur le collet et les parements, veste unie à la française, de drap couleur écarlate, culotte de la même couleur que la veste, gros et petits boutons blancs aux armes du roi »
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Après 4 semaines éprouvantes de " charettes" ...
Quelques images de la présentation du projet de fin d'études et de la remise des diplomes le 30/9/05
Le projet concerne le village de Lorentzen en Alsace Bossue qui devrait prochainement recevoir une
bretelle d'accès à l'autoroute A4 , ce qui rapprocherait le village de l'aglomèration Strasbourgeoise .
Le projet à reçu la mention très-bien (17/20) du jury , et nominé au concours de la région,
pour les projets de diplomes qui portent une attention particulière à l'environnement (HQE=
HAUTE QUALITE ENVIRONNEMENTALE)
Un projet pour un village (LORENTZEN), revisiter le mythe arcadien .
L'urbanisation et l'aménagement de territoire rural ont perdu
aujourd'hui leur aptitude à s'approprier les lieux , leur paysage
et leur histoire. Les solutions standards de la viabilisation
moderne viennent jouxter les vestiges rassurants de la paysannerie
Sous les effets conjugués des diffférentes logiques dominantes
(les infrastructures , les zones commerciales , industrielles
et résidentielles annexes aux villes ) la campagne subit
des successions de dénaturations , notament de valeurs ,
qui vont jusqu'à ne plus savoir ce qui fait l'intérèt d'y vivre
d'y habiter . La banalisation des sites par le mitage
et les lotissements entraine en plus un appauvrissement des relations
sociales , qui ne se jouent plus sur le lieu de vie , mais sont délocalisées.
Or ces extensions toujours plus lointaines ne spatialisent en rien
ce que pourrait offrir un village aujourd'hui :
- le rapport à un environnement physique différend de celui
que l'on peut trouver en ville .
- le rapport différent de l'individu à la société locale , caractère
d'inter-connaissance , on se connait mieux entre voisins .
- le rapport de la localité , cest à dire un intérèt de la plupart
des habitants pour la localité dans laquelle ils habitent ,
la gestion collective de l'espace .
De ce constat général , mis en rapport avec la situation actuelle
du village de Lorentzen je propose la problématique suivante :
La planification à court terme , les réponses au coup par coup ,
la ségrégation spatiale , contribuent en grande partie à la perte
de qualité de l'espace rural , à la dilution des rapports sociaux.
En ce sens j'entends étudier de quelle manière une planification
à long terme pourrait apporter une alternative à l'extension
par lotissement , à partir des hypothèses de travail suivantes :
> de faire émerger du village les qualités qui lui sont propres .
En utilisant les traces de mémoires inscrites sur le site de
manière superficielle ou plus profonde , matérialisées par le
parcellaire , les alignements d'arbres , bosquets, chemins,
ruisseaux et autres que je souhaite réinscrire le projet dans une
histoire , redonner un caractère particulier à ses espaces et
aux batiments qui viendront les créer .
> ne plus voir la maison individuelle comme une intouchable
solitaire , mais bien de la respecter comme élément participant
à la qualité et à la logique d'un ensemble.
> voir le village et son extension comme un tout pouvant profiter
et fabriquer à la fois sa propre unité , en recréant un univers
intérieur commun , lieu de promenade et de rencontre ,
lien physique et visuel du paysage du village . Associer à cet
univers les projets émergents et les liens associatifs de la
commune qui le rendront attractifs et interactifs .
maintenant qu'on a de nouveaux voisins à Rimsdorf, qui ont construit là ,
juste sous notre nez et qu'on ne voit jamais ... je comprends mieux ce message
mj 02/03/09
DNA 8-4-06 Les temps changent...avec le pétrole cher
Un lotissement de (haute) qualité environnementale
La Région Alsace lance une nouvelle politique en faveur des lotissements qui répondent aux critères d'un urbanisme durable de qualité environnementale. Première commune servie, Sainte-Croix-aux-Mines.
L'objectif de cette nouvelle politique est d'aider les élus locaux à réaliser des lotissements de qualité utilisant les sols de façon plus rationnelle et développant une meilleure approche environnementale. La Région Alsace finance 80 % des études de projets, avec un plafond à 20 000 €. Elle aidera aussi à la réalisation concrète de quatre lotissements expérimentaux dans chacun des deux départements. Parmi eux, le lotissement de Sainte-Croix-aux-Mines qui entre en phase de réalisation. Les maisons sont construites sur pilotis afin de libérer le sol. Économes en énergie et bien isolées, elles privilégient des matériaux de qualité comme le bois. La commission permanente d'hier a consenti une avance remboursable sans intérêt sur 2 ans de 157 300 € (60 % du prix de revient) pour la conception de la maison témoin. Le prêt sera remboursé lorsque la maison sera vendue.
La Région Alsace poursuit par ailleurs ses efforts en faveur des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, avec des projets pour lesquels a été débloqué hier un montant global de 9,15 millions d'euros. Elle veut notamment devenir une région pilote pour les bâtiments à basse consommation. Huit chantiers prioritaires ont été retenus, dont celui de la réhabilitation thermique des bâtiments. Il consiste à diviser par quatre les consommations énergétiques dans les logements à l'horizon 2025. Outre les projets solaires et bois-énergie collectifs et l'utilisation de l'énergie solaire chez les particuliers, un programme de remplacement des chaudières fioul ou gaz par des chaudières bois à alimentation automatique a été lancé en octobre. 200 primes, pour un montant global de 233 250 €, ont déjà été accordées.
DNA du 8-4-06
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Généalogie Jacobs à Bouquenom (Sarre-union) 1600-1800
C'est gràce aux registres d'état civil numérisés des parroisses catholique et protestante de Bouquenom (Sarre-Union) et à des arbres généalogiques prééxistants chez généanet ,que j'ai pu retrouver mes ancètres Jacobs de Bouquenom des années 1600 à 1800.. Sarre-union ou je vivais depuis de nombreuses années , sans imaginer que mes aieux Jacobs avaient vécu là 200 à 300 ans avant moi....
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| I
|né à Bouquenom née à Bouquenom
Iné à Bouquenom
I né à Bouquenom
I
Pierre Jacob (1798- né à Freyming
I
Etienne jacob (1828-1898) né à Freyming
I
Joseph Jacob (1865-1925) né à Freyming 
I
Alphonse Jacob
I
Marcel Jacob
La tombe de mon arrière grand-père Etienne Jacob (né à Freyming) au cimetière de Théding
marcel.jacob@wanadoo.fr
blason de Stenay
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L'histoire commence à Burbach un village près de Sarre Union en Alsace Bossue avec Jacob Jacobs né vers vers 1600 (mort vers 1657) , il semble qu'il est est de confession Calviniste (d'après des notes du registre du Pasteur luthérien de Bouquenom
qui c'est occupé de lui et de ses enfants du point de vue de la religion)
il est tisserand de laine drapier et épouse Maria ------ leur acte de mariage ( 13 nov.1642 pd burbach) se trouve dans le registre du Pasteur luthérien de Bouquenom
Paul Jacobs se marie à Bouquenom le 26 novembre 1669 avec Ève Elisabeth Klein , il a 25 ans. (registre protestant du Pasteur J.H. Wintzheimer)
Ils s'installent à Bouquenom où naîtront leurs enfants.:8 naissances sont citées entre 1671 et 1692 (tous inscris dans le registre protestant sauf le dernier) ,dont Philippe Jacob le 2 sept. 1685 C'est l'un des tous derniers enfants baptisés par le pasteur Wintzheimer; il y a eu la révocation de l'Edit de Nantes et l'interdiction du culte protestant et l'arrestation de tous les Pasteurs du secteur (emprisonnés à Bitche)
tous les protetants sont forcés manu-militari de se convertir au catholicisme...beaucoup feront semblant de le faire
Philippe sera Maître de Poste aux chevaux, boulanger aubergiste à Bouquenom et conseiller à l'Hotel de Ville.
dix enfants naquirent de cette union, 7 filles et 3 garçons.
, substitut des procureurs généraux et maire de Bouquenom en 1695. Un notable de la Ville.
- Sa mère Maria Margareth Winzheimer est née à Bouxwiller le 21 juillet 1665 et baptisée le même jour par le pasteur Haslauer ,le parrain était l'inspecteur du consistoire et le premier pasteur des comtes de Nassau à Bouxwiller
- le père de Maria Margareth est Jean Henri Winzheimer ( Vinsheimer) , né à Darmstadt en 1636 ,il
a été Pasteur luthérien a Bouquenom de 1667 à 1687 , puis Bailly
Grâce aux travaux de Laurent Jalabert dans sa thèse: "Droits, confessions et coexistences religieuses de1648 à 1789",...
Jean Henri Winzheimer
Né à Darmstadt il s'inscrit à la faculté de théologie de Strasbourg en juin 1657, parlant bien le français il est recommandé par la Faculté au poste de pasteur d'abord à Imbsheim et comme professeur de français à Bouxwiller.
A la fin de l'année 1667 il est appelé comme Pasteur à Bouquenom
Nous sommes dans une période où les catholiques font pression pour obtenir des conversion de protetants.
Le 2/12/1685 ,18 ans après ses débuts à Sarre Union il se convertit ainsi que sa famille à la foi catholique à Metz.
Il doit jouer un rôle important dans le renouveau du catholicisme à Bouquenom et obtient le titre et la fonction de lieutenant de bailli.
Il décède le 11 octobre 1689 53 ans à Bouquenom ,il est enterré dans l'église St Georges...
son grand-père Turbert Francois est notaire royal à Bouquenom.
Henry sera également notaire royal mais à... Wolmunster qui fait partie du Baillage de Bitsch
Volmunster est rattaché au comte de Bitche en 1606 il y a un Seigneur et un château.
Après la guerre de 30 ans, puis la peste ,il ne reste plus rien . Tout le Bitcherland est ravagé.
En 1697 le duc de Lorraine Léopold s'efforce de repeupler la région.
Henry Jacobs épouse Marié Claire Hoerendl (je ne trouve rien sur son origine) ,leur fils Jean Nepomucene Philippe Michel naît à Bouquenom le 31 mars 1747 à Bouquenom.
Philippe épouse à Freyming Anne Marie Becker et quitte Bouquenom pour installer sa famille à Freyming en Moselle
Il auront 15 enfants.
Pour nourrir cette grande famille il est manœuvre,boulanger et cultivateur.
Il décèdera à l'âge de 62 ans à Freyming le 31/1 1807.
C'est son fils Pierre ,le dernier de la fratrie, qui nous intéresse ,il voit le jour en 1798
Pierre Jacob ne le 20 aout 1798 à Freyming , est tailleur d'habits
Il se marie le 3 septembre 1827 à Freyming avec Angélique Haag couturière(1803-1869)
Ils auront 9 enfants.
L'ainé de ses enfants , Pierre Étienne Jacob1829-1893 marié le 4 septembre 1860 à Theding avec Suzanne Formery de Théding .Il aura son atelier de menuisier à Théding ; il est mon arrière grand-père paternel.
Avec lui commence une lignée de menuisiers ébénistes .
Il s'installe à Theding et y décèdera en 1893 et repose au cimetière de Theding ou on peut encore voir sa tombe.
son fils Joseph Jacob mon grand-père paternel :
Né à Freyming en 1865 ,également menuisier, il épouse Rose Madeleine Formery le 15/10 /1895 à Tenteling
Mon grand-père Jacob Joseph et ma grand-mère Rose Formery 
que je n'ai pas connue : elle est morte le jour de ma naissance (à 82 ans )
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marcel.jacob@wanadoo.fr
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marcel.jacob@wanadoo.fr
c'est beau Cuba...un payx sans riches... il ne reste que pauvreté et décrépitude....
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Le temps qui passe
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